Billet

L’appel

01 juin 2017

Le 18 juin est devenu célèbre en l’an 1940 suite au fameux appel du général de Gaulle émis depuis Londres sur les ondes de la BBC… et on connaît la suite ! Il est évident que le contexte de l’époque n’a rien à voir avec ce que nous vivons aujourd’hui et il n’est pas question à travers ces mots d’établir un parallèle qui serait pour le moins malséant.

Le 18 juin est devenu célèbre en l’an 1940 suite au fameux appel du général de Gaulle émis depuis Londres sur les ondes de la BBC… et on connaît la suite ! Il est évident que le contexte de l’époque n’a rien à voir avec ce que nous vivons aujourd’hui et il n’est pas question à travers ces mots d’établir un parallèle qui serait pour le moins malséant. Je revendique cependant sinon un lien tout au moins une même orientation avec ce billet qui se veut avant tout et modestement porteur d’espérance dans ce monde que l’on qualifie ces temps-ci de déprimé, de propagateur de « mal être » et autres adjectifs dévalorisants. Et j’en « appelle » donc à vous (mais aussi à mon for intérieur) pour que les jours à venir soient plus enrichissants, plus positifs pour ne pas dire plus authentiques. Peut-être allez-vous penser que par le biais de ce petit article, je tente de donner une signification sérieuse à quelques mots lancés « à la légère » ? Mais j’assume prétentieusement cette insouciance qui m’aide à avancer chaque jour que Dieu fait. Alors oui, je vous lance un appel qui, s’il peut paraître superficiel au premier abord, s’avèrera je l’espère plus consistant et plus durable après ingestion.

Chers frères et sœurs, et si nous prenions la décision de ne plus regarder notre nombril (aussi bleu azur soit-il) sans avoir effectué un petit tour d’horizon sur ce qui nous entoure ? Sur le plan humain d’abord et bien sûr, mais aussi au plan environnemental, près de chez nous… et même au-delà !

Je reconnais que le challenge à relever n’est pas aisé, tant les difficultés sont réelles, que ce soit au niveau des croyances et autres habitudes d’esprit, mais aussi des contraintes géographiques et matérielles. Mais compte tenu de l’état des lieux, je pense que nous n’avons désormais plus le choix… et puis « qui ne tente rien n’a rien ! ». Par conséquent, je lance cet appel afin que nous prenions conscience de cette occurrence et pour que « les serviteurs du roi puissent nous appeler comme invités aux noces ».

Wapiti.

Commentaires