Échos du conseil régional des 11 et 12 septembre 2020
« On n’est pas Église tout seul » ! Cette parole forte de la pasteure Nadine Py nous a introduits dans la réflexion en lien avec cette parole du Christ : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux. » (Matthieu ch. 18) Ainsi, malgré les difficultés, Christ est avec nous.
Le sujet principal de ce conseil aura été l’organisation du prochain synode : en raison de la situation sanitaire, pourra-t-on se réunir à Libourne ? Dans quel format : un ou deux jours ? Faudra-t-il s’en tenir aux seules décisions statutaires (finances, élections) et laisser de côté les autres aspects de notre vie d’Église ? Faudra-t-il aller jusqu’à organiser des votes par correspondance, « dématérialiser » les débats ? Au moment où ce compte-rendu est rédigé, aucune décision n’est encore prise.
Christiane Iribarren, notre trésorière, a fait le point sur les versements des paroisses et constate un léger retard dû aux difficultés liées à la Covid. Elle nous a rendu compte des réponses des Églises concernant l’engagement financier pour 2021. La plupart renoncent à augmenter leur cotisation. Elle rappelle que la commission d’animation financière organise deux rencontres « visio » à destination des trésoriers.
Rémi Cabane, notre responsable jeunesse, avait interrompu son périple à vélo pour venir au CR et rendre compte de ses rencontres. Parti le 1er septembre de Bayonne, il terminait le 15 à Castres. Ce fut l’occasion pour lui de mieux connaître les paroisses et de parler des rassemblements projetés en 2020/21 sur la région pour les jeunes. Plusieurs vidéos sont à voir sur YouTube.
Un point a été fait sur l’expérience nationale « webinaire » : plusieurs d’entre nous ont participé par vidéo aux ateliers organisés par le national. Chantal Fabre a pu ainsi témoigner de son expérience de groupe local Théovie en visio-conférence.
Comme à chaque fois, le conseil a examiné la situation des postes pastoraux, les arrivées et les départs. Un candidat s’est présenté pour occuper le « poste en solidarité » ouvert par le synode de Toulouse. Le conseil va examiner sa candidature et déterminer quel secteur sera concerné. Les deux prochaines rencontres du conseil se feront par téléphone.