Qu’il est difficile de porter un regard favorable sur une personne différente de nous. Jésus a aussi rencontré cette difficulté, certains disaient de lui :
« Mangeant et buvant, le fils de l’homme est venu, mais on dit : cet homme est un goinfre et un ivrogne, un ami des péagers et des pécheurs. » (Mat 11,19)
Or, par sa vie, par ses paroles, il promeut l’accueil inconditionnel. Alors, pourquoi pas nous ?
Le pardon, vaste sujet ! Il nous est tous arrivés de vouloir pardonner à quelqu’un qui nous a fait souffrir, mais ce n’est pas facile. Et pourtant le pardon découle de la grâce première d’un Dieu qui nous a aimé le premier et nous accueille sans condition, malgré notre péché. C’est le sens de la croix !
L'accueil est toujours d'actualité.
La ville d’Agen avait pris lors des dernières élections municipales l’engagement d’œuvrer pour rompre l’isolement ; elle a organisé une table ronde interreligieuse sur le sujet avec Céline Gary-Bulourde, pasteure de l’EPU d’Agen, Haïm Korsia, grand rabbin de France, Tareq Oubrou, grand imam de Bordeaux et Jean-François Serres, référent national de MONALISA (association luttant contre l’isolement des personnes âgées).
Les premières pages de la Bible consacrent l’humain comme un végétarien. Un régime qui ne durera pas. Dès le Déluge (Gn 6-9), Dieu lui permet de manger de la viande, sans son sang toutefois. Pourquoi ce revirement ?
Nous poursuivons notre série sur les ministères spécialisés ; ce mois-ci, Agnès
Vez Desplanque évoque son ministère avec passion.
Le rabbi Haim Casas nous a envoyé un chapitre de son livre Introduction au judaïsme
qu’il est en train d’écrire. Éclairage nécessaire pour nous qui oscillons entre Dieu, Éternel, Père...
Cet épisode de l’évangile de Luc raconte comment Jésus reçoit l’Esprit de Dieu alors que
Jean le baptiseur est emprisonné. Fin du ministère pour Jean baptiste, début du ministère de
Jésus porté par l’Esprit de Dieu. Ère nouvelle.
Joséphine Baker est entrée au Panthéon. Sa vie est le reflet presque parfait de l’idéal chrétien ; elle avait une foi extraordinaire, mais son ancrage chrétien a été consciencieusement oublié pour son entrée au Panthéon laïc.
Un film de Valérie Lemercier, sortie en salles novembre 2021. 2h06.
Pour le 40e anniversaire de la mort de Georges Brassens et le centenaire de sa naissance, les commerçants de la culture ne savaient que faire puisque nous avons déjà tout – les chansons et les livres qui les expliquent
Alors que dans l’Allemagne luthérienne la musique sacrée prend son essor autour du choral, avec des compositeurs comme Praetorius, en Italie c’est dans le contexte de la poésie profane que germera une nouvelle musique vocale, le madrigal.
C’est un film tout en silences et en regards, entre un père et un fils trop modestes, vrais, attentionnés l’un à l’autre. Un jeune au visage d’ange tétanisé, un père à la « gueule » triste et marquée.
Ils vivent une solitude à deux. La mère est absente. L’homme, Ahmed, travaille le soir comme écailler pour une brasserie parisienne. Ibrahim, le fils, semble subir ses études, la tête ailleurs…
Bien des chants de Noël nous semblent bien familiers, entendus et chantés lors de veillées ou de cultes. Mais, suivant nos traditions, qu’elles soient luthériennes ou réformées, nous serions bien surpris d’apprendre que certains d’entre eux ne sont entrés dans recueils qu’aux 19e et 20e siècles.